Bien que pas très à l'aise sur les sols instables, c'est au cross de la Forêt de Retz, bien mené par Laurent Duchêne, que je me suis rendu au lieu des 10kms d'Attichy prévus la semaine dernière.
Malgré la bonne forme de ces dernières semaines, j'ai souffert sur ce parcours où les passages boueux m'ont mis en difficulté à plusieurs reprises.
Néanmoins je me suis accroché, bien aidé par le densité des coureurs présents, pour prendre une bonne 22ème place en 26'45''.
Le 17 janvier prochain, les championnats de l'Aisne de cross se dérouleront sur le même circuit.
fin la 1ère PB derrière
2éme PB
dans la 1ère GB avant une glissade...
2ème GB, à moins d'un km de l'arrivée
dans la presse : Rollet et Vallois ont repéré les lieux
Il flottait (déjà) comme un parfum de championnats départementaux dimanche lors de l’épreuve de la Forêt de Retz où l’hymne national devait être repris en chœur avant le départ.
Un tracé que les lauréats du jour, Antoine Rollet (ACVC) et Laura Vallois (UAC), espèrent emprunter à nouveau, avec le même succès, le 17 janvier prochain lors des championnats départementaux. Les deux vainqueurs ont, l’un comme l’autre, remporté une victoire qu’ils ne doivent à personne…
« J’avais à cœur de briller ici, de surcroît avec ce maillot sur les épaules », confiait le premier nommé, souverain comme il l’avait été lors de la précédente édition. D’abord dans la foulée de Tolga Camdeviren, avant de prendre ses responsabilités, l’enfant du pays apparaissait ensuite fin gestionnaire pour franchir, en solitaire, la ligne d’arrivée. Performance qu’il aimerait cependant réitérer dans un proche avenir. « D’ici là, une participation à Dunkerque n’est pas à exclure avant une petite période de repos. »
Aveu également formulé par Laura Vallois, une Chaunoise tout aussi ambitieuse. Sur un parcours « peu sélectif » qu’elle découvrait, l’intéressée disposait aisément, et surtout rapidement, de l’opposition, triomphant sans avoir à puiser (réellement) dans ses réserves. Une belle reconnaissance pour le rendez-vous de janvier qui en dit long sur ses possibilités.
« Il convient cependant d’être présente le jour J », relativisait la sociétaire de l’UAC, déterminée à garder les pieds sur terre, mais dont le carnet de route qui pourrait l’amener jusqu’à la consécration départementale « n’est pas encore élaboré ».