Même si la météo était dantesque (pour reprendre les mots de l'organisation), je dois admettre que mes sensations n'ont pas été au rendez-vous ce matin sur le semi de Fleurbaix.
Parti dans la première vague et bien calé dans un groupe d'une dizaine de coureurs, j'ai très vite senti que mes jambes ne répondaient pas.
Je me suis accroché avec l'espoir qu'elles se délient au fil des kilomètres mais il n'en a rien été. Bien au contraire... car sont venues s'ajouter des difficultés à ventiler...
L'idée d'abandonner à l'issue du premier tour m'a bien traversé l'esprit mais je suis allé au bout tant bien que mal.
Je boucle le parcours tétanisé en 1h23'11" sans trop comprendre la raison de ces mauvaises sensations.